III. Conclusion

Ainsi nous pouvons constater que les fourmis peuvent être différentes dans la fiction et la réalité. Et donc les fourmis rousses de Bernard Werber, et les fourmis balle de fusil, les fourmis folles jaune, les fourmis de feu, et les fourmis charpentières de Peyton Reed sont toutes différentes de la réalité, que ce soit par la mentalité, les caractéristiques et l'individualisme chez Werber, ou par l'apparence, la morphologie ou la physionomie chez Reed.
En revanche, les fourmis magnan de Philippe Calderon sont totalement représentatives de la réalité, que ce soit dans la mentalité, ou l'apparence, ou la morphologie, ou encore les caractéristique de ces fourmis.

On peut alors remarquer que les fourmis présentant des différences ne sont présentes que dans les pures fictions. En effet, une histoire telle que Ant-Man ne pourrait pas arriver dans notre monde actuel, pour des raisons scientifiques, et une histoire telle que Les Fourmis, quoique plus vraisemblable, non plus, pour la même classe de raisons, à savoir scientifiques.
Et les fourmis totalement représentatives de la réalité ne sont présentes que dans des documentaires, ici certes un docu-fiction, mais fictif dans le sens où le réalisateur n'a fait que reconstituer au moindre détail près une bataille entre fourmis et termites. C'est donc le cas de La Citadelle Assiégée.

On peut donc en conclure que la différence qui peut exister entre fourmis réelles et fictives est soit le désir de transparence totale du réalisateur ou de l'auteur envers la réalité ou non, soit tout simplement le type de produit qui résultera de ce réalisateur ou de cet auteur. Si il veut réaliser un livre explicatif ou un documentaire, ou un docu-fiction, les fourmis seront vraisemblable en tout point à leurs congénères de la réalité. Si ce même réalisateur ou auteur désire entraîner le lecteur ou spectateur dans un monde fictif, autre que notre monde actuel, il mettra en scène, en avant des fourmis différentes de notre actuelle planète.

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